Dans la famille doomlike PiCi, trois générations et trois patriarches ont émergé. Wolf 3D, Doom et Duke Nukem. Chacun disposait d’un potentiel ludique faramineux ainsi que du dernier cri techno-qui-tue-logique. Les versions PlayStation et Saturn se partagent un peu ces deux clefs du succès. A la Saturn la réussite graphique, à la Play la jouabilité ultime. Alors, si elles n’offrent pas le même sensationnalisme que sur PC, elles ont néanmoins su garder le souffre et la foudre qui caractérisaient l’original (le gore, le sexe, l’esprit Z). Tout l’essentiel et tous les stages s’y retrouvent, parfois quelque peu remaniés. Mention spatiale à la Play qui nous ressort pour l’occas’ sa liaison link.